Témoignage exclusif de Chloé BROION, patiente de Tiphanie Piquet, Experte Sophrologue
Grâce à la sophrologie j’ai réussi à dépasser mes peurs et mes angoisses. J’ai réussi à être beaucoup plus sereine.
La sophrologie m’a aidé à comprendre et à gérer seule, chaque situation d’angoisse et d’incertitude dans laquelle je me trouvais.
Elle m’a également aidé à réaliser que c’est moi, et moi seule, qui peux autoriser une émotion comme la peur à m’atteindre, ou pas. La sophrologie a un pouvoir incroyable.
Grâce à la pratique de la sophrologie, j’ai compris que c’est à moi de décider si ce que je traverse personnellement et professionnellement est une opportunité.
J’ai appris à contrôler mes émotions, à envisager ce qu’il y a de meilleur pour moi : tout simplement en observant calmement une situation donnée sans réagir dans l’énervement ou la colère. Et se servir de cela pour avancer encore plus loin.
Enfin, je dirais que les séances de sophrologie avecTiphanie Piquet m’ont permis de réaliser que j’ai un pouvoir de décision :
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pour réagir à une situation donnée,
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pour envisager si cela m’apporte quelque chose de positif ou de négatif,
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et un des points les plus importants, c’est qu’aujourd’hui je m’aime, je m’accepte et je me respecte.
Merci Tiphanie Piquet !
Retour d’expérience : Tiphanie Piquet évoque son travail en Sophrologie avec Chloé Broion
Sandrine : Bonjour Tiphanie, quel beau témoignage que celui de Chloé ! Peux-tu me raconter comment tu as fait sa connaissance ?
Tiphanie : En 2019, Chloé sortait d’une séparation sentimentale. Elle s’est retrouvée sans travail et se sentait mal dans sa vie en général : incapable de faire du sport ou tout autre type d’activité.
Je l’ai rencontrée par le biais d’une amie coach sportif, avec qui elle travaillait depuis quelques temps. Malgré ce travail, elle ne trouvait pas d’apaisement. Elle a cherché à savoir si j’étais disponible pour intervenir en sophrologie afin de l’aider dans son quotidien.
Sandrine : Comment as-tu abordé le travail en sophrologie avec Chloé ?
Tiphanie : J’ai tout simplement établi un diagnostic au cours de la première séance qui m’a permis d’évaluer les besoins de ma patiente.
J’ai cherché à comprendre si elle avait des envies particulières de travail sur elle-même, ou encore de se lancer un défi personnel pour aller mieux.
En échangeant avec Chloé, j’ai appris qu’elle rêvait de réaliser une course d’endurance officielle de 10km depuis de nombreuses années. Elle a toujours pensé qu’elle n’en serait jamais capable et donc qu’elle ne réaliserait jamais ce rêve qui lui tenait à cœur.
Chloé a exprimé le fait de ne pas se sentir à la hauteur d’un « tel exploit ».
Peu à peu, j’ai compris que Chloé avait besoin de valorisation, de reconnaissance, et que par-dessus tout, elle avait besoin d’avoir confiance en elle et gagner en estime de soi.
Sandrine : Explique-moi comment commence une séance de sophrologie.
Tiphanie : Le but dans chacune de mes séances de sophrologie est de m’adapter au/à la patient.e. : j’ai besoin d’être dans le ressenti de l’instant présent. C’est cette adaptation et ce ressenti qui vont me permettre de déterminer comment je vais axer le travail consacré à cette séance en particulier.
Je vais être très claire : il est impossible de programmer à l’avance le déroulement d’une séance de sophrologie, car l’objectif principal du sophrologue est de faire en sorte que le/la patient.e lâche prise.
C’est cela ma priorité en début de séance.
C’est ce lâcher prise qui va venir conditionner la séance dans sa globalité.
Chaque séance commence par un temps de parole, un temps de prise de conscience de l’image que le/la patient.e a de lui/d’elle-même.
Puis vient le temps pour le lâcher prise et la prise de conscience de sa propre respiration.
Sandrine : Tiphanie, peux-tu m’en dire un peu plus sur l’objectif que s’était fixé Chloé pendant son travail en sophrologie
Tiphanie : Son premier objectif était de se sentir bien en général. Elle avait envie d’apprendre à briser l’agitation de ses pensées, pensées « nocives » d’après elle, car elles « tournaient en boucle dans sa tête en permanence ».
C’est elle qui a peu à peu formalisé le besoin de lâcher prise et de prendre conscience de l’instant présent. Laisser de côté les attentes de la vie de tous les jours pour savourer chaque instant pleinement sans anticipation du futur. Chloé a commencé à réaliser au fil des séances qu’elle pouvait être actrice de sa vie.
Elle a fini par me soumettre l’idée de participer à cette course officielle de 10Km.
Sandrine : Incroyable ! Qu’en as-tu pensé ?
Tiphanie : Qu’est-ce que j’en ai pensé ? Je lui ai dit qu’elle en était pleinement capable et qu’elle seule pouvait décider de se lancer un défi personnel.
Elle s’est alors inscrite, seule, à la « Course contre la violence des femmes » qui a eu lieu à Lille en septembre 2019.
Cette course me tenait particulièrement à cœur, je me suis également inscrite. J’ai proposé à Chloé de l’accompagner, sans m’impliquer directement lors de l’évènement. Je voulais la laisser maître à bord dans la réalisation de son défi, ma présence serait un soutien moral et amical.
Sandrine : Merci Tiphanie. Un dernier mot avant de nous quitter ?
Tiphanie : Après avoir suivi Chloé lors de quelques séances de sophrologie, je peux dire aujourd’hui que c’est une femme épanouie avec des projets et desrêves qu’elle réalise petit à petit.
Elle m’a récemment confié être en harmonie avec elle-même et se sentir se capable de réaliser tout ce qui lui fait plaisir.
Avoir fait ce travail en sophrologie, lui permet maintenant de mieux appréhender l’avenir, sans les aspects négatifs que la vie pourrait lui réserver.
Pour conclure Sandrine, je dirais :
« Toujours croire que l’on est capable de.
Prendre le temps pour soi, c’est se donner de l’importance. »
Sandrine : Merci Tiphanie pour ce témoignage, nous nous retrouverons prochainement pour un nouveau reportage. D’ici là, prend du temps pour toi !
Interview réalisé par Sandrine ESPERT,
Attachée de Presse et Rédactrice web,
Consultante en Stratégie Digitale, Marketing & UX Design,
Bilingue français-anglais